LES BASSES FRÉQUENCES

Les basses fréquences : ces ondes du quotidien à comprendre

Chaque jour, nous vivons entourés de basses fréquences. Elles proviennent de nos installations électriques, souvent sans que nous le sachions. Pourtant, elles influencent notre environnement immédiat.

D’abord, les basses fréquences regroupent les champs électromagnétiques compris entre 0 et 300 kHz. Dans nos maisons, elles tournent autour de 50 Hz, la fréquence du courant domestique. Elles naissent dès qu’un appareil fonctionne ou qu’un câble transporte de l’électricité. (https://www.inrs.fr/risques/champs-electromagnetiques/effets-sante.html?)

Prenons un exemple concret : une lampe de chevet allumée près du lit. Autour du fil, un champ électrique se forme. Ce champ reste présent même si l’appareil ne consomme presque rien. Plus la distance diminue, plus l’intensité augmente.

Ensuite, ces champs se manifestent sous deux formes : électrique et magnétique. Le premier existe dès qu’un fil est sous tension. Le second apparaît quand le courant circule. Ensemble, ils composent ce que l’on appelle un champ électromagnétique basse fréquence.

De plus, ces ondes traversent facilement les murs et les meubles. Elles interagissent avec notre corps, surtout à proximité prolongée. Selon l’ANSES, une exposition continue supérieure à 0,2 microtesla pourrait augmenter le risque de leucémie infantile. Cette donnée reste prudente, mais invite à la vigilance. (https://www.cancer-environnement.fr/fiches/expositions-environnementales/champs-electromagnetiques/?)

Par ailleurs, certaines personnes sensibles évoquent fatigue, troubles du sommeil ou palpitations près d’appareils électriques. Ces effets varient d’un individu à l’autre et dépendent du temps d’exposition.

Heureusement, il existe des solutions simples. Par exemple, on peut éloigner les multiprises et transformateurs des zones de repos. On peut aussi couper le courant de la chambre la nuit ou utiliser des interrupteurs bipolaires. Un testeur OEM aide à repérer les champs les plus forts entre 5 Hz et 3 500 MHz. (ICI) Ainsi, chacun peut adapter son espace.

Enfin, la prévention passe par la connaissance. Comprendre les basses fréquences permet d’adopter les bons réflexes : distance, durée et mesure. Les protections comme les bonnets anti-ondes complètent ces gestes. (ICI)

En conclusion

En somme, maîtriser les basses fréquences, c’est mieux vivre avec elles. Nos appareils resteront utiles, mais notre santé restera prioritaire.

Solution pour une vie saine, durable et en toute liberté.